Chaudement recommandé dans le froid, le masque de ski met tout le monde d’accord !
Lorsque vous vous adonnez aux plaisirs de la glisse en altitude, vous pouvez choisir de skier avec vos lunettes de soleil.
Adaptées à votre vue ou non, elles « font le job » comme on dit. Selon l’indice des verres, elles sont tout à fait aptes à vous protéger des rayons UV et de la réverbération de la lumière accentuée par la neige. Mais il est important de considérer d’autres paramètres qui posent question.
> La sécurité :
quel est le risque pour vos yeux en cas de chute ?
> La protection :
vos lunettes couvrent-elles assez la forme de votre visage de manière à vous protéger latéralement de l’éblouissement ?
> Le confort :
sont-elles efficaces face aux bourrasques de vent, au froid et à l’infiltration de neige ?
> Les conditions météo :
en cas de mauvaise visibilité, vos verres permettent-ils d’améliorer les contrastes et de mieux deviner le relief des pistes ?
En vérité, il n’y a pas photo
Le masque de ski affiche des qualités bien supérieures à vos solaires qui vous seront plus utiles pour la pratique
du ski de fond, les sorties en raquettes ou les bains de soleil à l’orée des pistes.
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LE PODIUM DES BONNES PRATIQUES
Le bon conseil est de ne rien laisser au hasard, d’éviter qu’un petit grain de sable ne vienne enrayer « votre machine » et gâcher la fête.
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> Voici quelques erreurs (de débutant) à ne plus commettre :
1• Oublier de vous échauffer
Avant de démarrer, échauffez-vous pour réveiller tranquillement vos articulations, augmenter graduellement votre fréquence cardiaque, accélérer votre circulation sanguine et être ainsi prêt à répondre aux besoins en oxygène de vos muscles. Le but est de solliciter progressivement les différentes parties de
votre corps dont vous allez avoir besoin pour prévenir au maximum les risques de blessures.
2• Ne pas hydrater suffisamment votre organisme
Votre corps a besoin de carburant pour garder le rythme. L’eau est donc votre meilleure alliée avant, pendant et après l’effort.
Avant et pendant l’échauffement, buvez régulièrement quelques petites gorgées d’eau, l’équivalent d’un verre toutes les trente minutes. Répétez cela pendant l’effort et surtout n’attendez-pas la sensation de soif pour vous hydrater.
3• Prendre un petit-déjeuner trop copieux
Balayons une idée reçue. Le petit-déjeuner copieux ne contribuera en rien à votre performance. Bien au contraire, car 70 % de notre énergie est dédiée à la digestion. Des aliments sont à bannir (barres chocolatées, viennoiseries, pâte à tartiner…). Préférez les fruits entiers (pas les jus) pour un meilleur apport en fibres (orange, banane, kiwi, pomme). Le lait est peu digeste, optez pour un fromage blanc accompagné d’amandes, noix, noisettes ou de fruits séchés (abricots, figues, raisins…) à forte teneur
énergétique. Et enfin, mettez de côté les boissons chaudes comme le café ou le thé pour vous rabattre sur un grand verre d’eau tiède avec du jus d’un citron, riche en vitamines, minéraux
et oligo-éléments.
4• Ne pas profiter d’un sommeil réparateur
Le sport aide à évacuer le stress et à faire le vide dans sa tête. C’est un atout majeur pour trouver plus facilement le sommeil. A l’inverse, bien dormir booste les performances physiques et maximise votre endurance. Le lendemain d’une bonne nuit, vos batteries sont rechargées, vous êtes plus réactif, vigilant et concentré.
Un atout indéniable, car dans bien des sports collectifs ou individuels, il est parfois utile d’avoir de bons réflexes et du répondant.
5• Pratiquer votre sport juste avant d’aller dormir
Pour profiter d’un sommeil vraiment réparateur, prenez l’habitude de ne pas pratiquer de sport dans les deux heures qui précèdent votre coucher. Et ce pour une bonne raison : le soir, la température de vote corps diminue naturellement afin d’appeler au sommeil.
Le fait de perturber ce rythme peut vous entrainer dans la spirale contraire.