Des conseils pour (re)prendre les commandes de sa vision.
Si vous passez beaucoup de temps à parcourir l’asphalte et le bitume aux commandes d’un bolide de compétition, de tourisme ou de fonction, vous devez pouvoir compter sur une vue affûtée et précise, réagissant au quart de tour, se calant sur votre route, et s’adaptant à votre environnement. En proie à une déficience visuelle négligée ou mal corrigée, vous multipliez les risques de moins bien manœuvrer, réagir ou estimer. Comment reprendre le contrôle de votre vue et adopter une conduite moins risquée ?
1 conducteur sur 5 mis en danger par une vue mal corrigée
Panneaux de signalisation, obstacles, distances, commandes de bord, compteur, angles de vue, rétroviseurs…
Quand vous êtes sur la route, 90% des informations transitent par vos yeux. Et pour vous garantir une conduite optimale, réactive et préventive, vous devriez impérativement être en mesure de tout voir et de tout percevoir.
Seulement voilà, tout comme huit millions de personnes tous âges confondus (ce qui représente 1 conducteur sur 5), vous êtes gêné par un défaut visuel non pris en charge ou mal corrigé.
Dans ce cas, même si vous prenez garde à respecter le b.a.-ba de l’optimisation visuelle de votre véhicule (propreté des vitrages intérieurs et extérieurs, des feux et des phares, absence d’objets encombrants, efficacité des essuie-glace, réserve de liquide lave-glace et bon positionnement du pare-soleil), vous passez à côté d’un élément essentiel : votre propre vue.
Si vous souhaitez identifier, prévenir et corriger vos éventuels défauts d’acuité visuelle et de sensibilité aux contrastes, il est indispensable de les faire contrôler régulièrement.